Sans cause décelable. Ce terme est utilisé comme adjectif dans une maladie dont la cause ne peut être catégoriquement précisée.
Matériel (p.ex. synthétique, collagène, métal) implanté dans le corps pour remplacer un tissu manquant ou des parties d’organes, mais aussi pour délivrer certains médicaments à l’organisme. En rapport avec la contraception hormonale ou l’hormonothérapie de substitution: implantation sous la peau d’un petit bâtonnet synthétique contenant des hormones, qui seront libérées continuellement en très petites quantités dans la circulation sanguine.
Terme englobant toute une série de troubles sexuels fonctionnels. Ce terme est le plus souvent utilisé pour qualifier un trouble de l’érection (dysfonction érectile) chez l’homme. Et comme ce terme a souvent été employé dans le sens négatif de « manque de virilité », il devrait être abandonné. Les scientifiques font la distinction entre impotentia coeundi (troubles de l’érection et/ou de l’orgasme) et impotentia generandi (rapport sexuel possible, mais stérilité).
Impossibilité de retenir volontairement l’urine dans la vessie.
Raison de prescrire un médicament ou utilisation d’une méthode thérapeutique ou diagnostique.
Maladie sexuellement transmissible, due aux virus HPV (Human Papilloma Virus).
Stérilité.
Forme d’administration parentérale de médicaments. Indiquée également pour administrer des hormones dans la contraception hormonale ou l’hormonothérapie de substitution. Il s’agit alors d’injecter un dépôt d’hormones dans les muscles de l’épaule ou de la fesse, qui libérera continuellement de petites quantités d’hormones dans la circulation sanguine.
Injection d’une substance dans les corps caverneux du pénis, qui provoque un relâchement de la musculature et une érection. L’injection dans les corps caverneux peut servir au diagnostic des troubles de l’érection et permet d’en préciser la cause. Mais elle peut aussi se pratiquer pour traiter un trouble de l’érection. Il s’agit alors du traitement par auto-injection dans les corps caverneux, demandant à l’homme de s’injecter lui-même le médicament dans ses corps caverneux peu avant le rapport sexuel.
Méthode de contraception hormonale consistant à injecter un dépôt de gestagène dans le muscle.
Incapacité fonctionnelle totale ou partielle d’un organe.